Escort / fgirl
Qu'est ce que la prestation "Girlfriend experience"
18 avr. 2022
La prostitution fait parler car c’est la profession la plus ancienne. Avant, la femme donnait du plaisir pour des raisons autres que l'argent.
La prostitution fait parler par le fait simple : c’est
la profession la plus ancienne qui existe. A l’époque, la femme donnait du
plaisir à l’homme pour des raisons autres que pour de l’argent. C’était à la
base en échange de nourriture car la femme était plus chétif, moins robuste
pour aller chasser et se défendre en pleine nature. La nourriture constituait à
l’époque la survit, ces femmes là l’avaient vite compris qu’en échangent de
câlins sensuels elles pouvaient avoir quelque chose en retour, des choses qu’elles
ne pouvaient pas avoir ou qui auraient à risque. Il y avait aussi dans ces
époques là le coté de la sécurité, l’homme qu’elle pouvait séduire grâce au
sexe pouvait les aider à se défendre contre d’autre homme ou divers évènement
de la vie.
De nos jours, en cette merveilleuse fin d’année 2020, une année particulière car la pandémie du Covid-19 a fait tourner la planète entière au ralenti plusieurs mois, la prostitution continue toujours sous différentes formes. Pendant le coronavirus, en suisse, la prostitution à changer et les escort girls à Genève se sont transformer en standardistes érotiques, racontant des histoires X toutes la journée aux hommes souhaitant varier les plaisirs et exciter leur imagination. Le sexe fait déplacer des foules, des milliers de femmes et d’hommes en Suisse se rencontrent pour baiser, pour échanger de l’amour, de l’argent et d’autres bienfaits souvent incalculables. C’est un sujet qui fait couler beaucoup d’encre et c’est un sujet qui revient souvent en soirée. Cet article exclusif va tenter de faire le point sur cette question, pourquoi on parle souvent de prostitution, de petites coquines, de putes entre potes ?
Le sexe n’est plus un tabou dans la grande majorité des pays
développé en 2020. En Suisse, la prostitution est autorisée depuis 1992 et est contrôlée
pour une police des mœurs cantonale. Même si c’est légal, sous le regard des
autorités compétentes, la prostitution et les petites putes font parler. C’est
un sujet qui revient souvent dans les journaux et la presse local. Le GHI ou
encore la Tribune de Genève sortent régulièrement des articles sur les escort
girls à Genève ou encore les call girls à Lausanne. Ce sont des récits qui sont
lus, qui intéresse la grande majeure partie des hommes car c’est un sujet
facile, le sexe concerne 100% de la population et forcément, ca peut devenir
vite un sujet de dérive durant la pause-café ou encore pendant le lunch de midi
qui va finir en rire, en débats drôles, des histoires de cul du passé vont être
mises sur la table et décortiquées. Le cul et la prostitution en Suisse mais
aussi en France est ancrée dans nos mœurs, dans nos cultures de latino. Ce
sujet est vitale, il y a comme un besoin que de parler de cul chaque jour, d’échanger
avec son partenaire de travail autour de ce sujet qui unis et déchirent les
relations humaines, c’est un sujet qui excitent la plupart des terriens et les
suisses particulièrement qui sont connus pour leur mollesse, les fesses font
réagir tout le monde.
C’est d’ailleurs pour cette raison que le café-pipe, concept sorti en 2016 par Bradley Charvet de Facegirl, a fait autant de bruit. L’intelligente union du sexe et du café ont fait de ce concept le buzz de l’année. Tout le monde jusqu’à aujourd’hui parlent ou ont parlé, ont entendu de près comme de loin cette histoire drôle et loufoque de ce fameux café à pipe qui aurai du ouvrir en face du Starbucks au rondo de Rives. Oui, la prostitution suisse est un sujet mordant !
Parler de la prostitution est croustillant, excitant,
bandant etc. il y a autant de mot à rajouter autour de l’effet que produit le
sujet du sexe que d’hommes sur la Terre. Les humains, les terriens aiment le
cul et les prostituées particulièrement car les escort girls à Genève font
rêver et fantasmer 90% des hommes. Pourquoi me demanderiez-vous, pourquoi les
call girls de luxe de Lausanne font fantasmer les suisses ? La réponse est
simple : l’homme est un chasseur de nature, nous avons brièvement abordé
ce sujet dans l’introduction de cet article. La plupart des hommes suisses âgé
de 25 ans et plus sont en couples, mariés, ont parfois des enfants et une vie
bien rangée avec un espoir de carrière.
Le bon suisse, marié avec 2 enfants en bas âge ne prendra aucun
risque avec une amourette telle qu’une voisine, une amie du couple ou encore une
collègue de travail. Le regard de ce type d’homme va s’orienter vers une proie
qui ne leur causera aucun souci, qui ne leur écrira pas le soir pour avoir des
informations sur le déroulement de leur journée, qui ne voudra pas s’immiscer
dans leur vie intime. Le fantasme parfois sans le chercher, donc de manière
inconsciente, se dirige vers les prostituées qui garantissent un plaisir
passager contre rémunération, cet argent achète à quelques parts la tranquillité.
L’envie de partager un moment de sexe et de varier les services érotiques avec
une nouvelle femme, un nouveau corps, un nouveau vagin sans prendre le moindre
risque excite et fait fantasmer la majorité des hommes sur cette terre.
La prostitution en Suisse ainsi que partout dans monde fait
parler, les hommes suisses vont voir les masseuses érotiques à Genève pour se
détendre, pour se relaxer et éviter le burnout qui est très présent dans le
monde bancaire suisse. Mais ce qui amène aussi à échanger avec des amis en
soirée autour des putes, ce sont les pratiques coquines qu’elles exercent,
comme notamment la fellation, la sodomie que beaucoup de femme ne pratiquent
pas avec leur mari et les gangs bangs.
Cette pratique sexuelle, sensuelle et torride se lie avec l’exhibitionniste et l’échangisme. A nouveau, c’est une pratique que bon nombre d’homme ne penseront jamais à réaliser avec la mère de leurs enfants. L’échangisme est un sujet encore tabou en Suisse, malgré que l »on soit en 2020, les couples mariée ou qui ont des projets d’avenir n’abordent pas le sujet malgré des envies parois des deux corps. Il ne reste alors plus qu »’une solution pour assouvir ces envies animales de sexe à plusieurs : échanger avec des inconnus ou entre potes en allant voir une escort girl en Suisse. Pourquoi prendre des risques et déclencher une guerre familiale, un divorce couteux et un regard haineux des voisins ? Pas vu pas pris, les gangs bangs vont bon train en Suisse, d’après les statistiques auprès des travailleuses du sexe, la pratique du gang bang en terre helvétique à exploser ces 3 dernières années de 120%. Le besoin de faire autre chose que du sexe intéresse les psychologues et thérapeutes dédiés à l’univers érotique, les sexologues. D’après des entretiens de santé, les hommes pratiquant ce genre de relation sexuel aime également l’échange pendant l’acte, le social, avoir une discussion avec d’autres hommes et aussi l’emprise physique numéraire masculin autour d’une femme, la soumission est indirectement le sujet complémentaire de cette excitation qui pousse les hommes à faire toujours et encore des expériences sexuelles malgré un âge avançant, et heureusement car rappelons le, le sexe, c’est la vie.